Effe peint depuis toujours et n’a pris les pinceaux que depuis peu.
Elle a en elle les ombres et les lumières de tableaux imaginés les paupières closes, d’un clin d’oeil donné au monde.

Elle peint ce qu’elle voit sur le lavis de ce qu’elle ressent.
Ses personnages sont doubles.
Ses paysages sans bornes, implantés dans un univers de lumière.

Effe détourne le regard de ses nues comme pour nous permettre de mieux les découvrir. Pudeur qu’elle nous offre pour épargner la nôtre.